L’ange et le démon
Le cœur des hommes s’étouffant dans les chemins de la destinés
Le voile noir et sombre d’un cœur s’embrasant de sa propre colère
J’ais rêver de cette femme que j’ais tant aimé
Dans les limbes infernale, seul répit de mon éternel calvaire
Sur ce chemin sinueux, j’y ais entrevu l’amour
Dans ses yeux j’y ais découvert le véritable bonheur
Le diable me jouait-il l’un de ses mauvais tours?
Telle était ma plus grande horreur
Mais de mon âme je l’ais regarder
De son seul sourire elle à abaisser mes défenses
Mon corps ne désirait que la dévorer
Mon cœur m’ordonnait d’abandonner cette affreuse tendance.
Le démon que j’étais ne pouvait reconnaître son amour
L’ange qu’elle était m’enlaça tendrement
Mes yeux regardant perversement ses atours
Mon esprit ne s’en torturait que des plus cruellement.
Ce monde n’était pas le mien
Cette déesse ne m’aimait telle que par pitié?
Ma main se déposant sur l’un de ses seins
Nos âmes s’enlacèrent dans une profonde intimité.
Je désire combattre la mort
Frapper de toutes ses émotions
Son amour martelant mon corps
Mon esprit se noyant dans une visqueuse lotion.
Et alors que mon cœur se retrancha dernière ma froideur
Que les titans s’acharnèrent sur les êtres mortels
Que les dieux vainquirent tous ses malheurs
Ceux-ci devinrent encore des plus cruels.
Je ne pouvais qu’espérer
Je ne pouvais que combattre
Et alors dans un dernier souffle je n’ais pus que chanter
La mort m’emportant avant qu’une dernière fois, je n’en débattre.
Mes lèvres formant l’insigne d’une bise
Mon doux sourire s’effritant sous l’effigie de mon propre destin
Le vent se leva telle une brise
Le malheur avait tourné, je n’étais plus qu’un pantin.
« J’ais dansées dans les filets de Prométhée, surpassé l’infamie de ma propre pensée.
Amour, tendre Vénus, laisse moi être à jamais ton plus fidèle troubadour. »